Découverte - Les Aventures de Lulu au Canada

Bonjour les amis...

Je suis désolée d'écrire si peux mais je passe la plus grande partie de mon temps à être sincérement convaincue que personne ne lit ce blog... Heureusement que certains d'entre vous sont la pour me rappeler que j'ai tord ;)

Je vous emmène avec moi dans mes nouvelles découverte et explorations.

Un de mes amis artiste m'a invité à sa résidence il y a peu de temps... Appelons le Rodin (il joue avec du papier et fait des statues vivantes ;) ). Donc, je me rendais, sous une pluie de rayons de soleil, sur les lieux de sa résidence quand j'ai découvert ce nouveau quartier que je ne connaissait pas...

C'est l'une des choses que j'aime le plus dans cette ville, de nombreux quartiers ont leur propre architecture, leurs propres contrastes, leur propre lumière... leur propre âme ! Et celui la, avec ses petites rues desertes, ses batiments de briques rouges, ses grandes fenêtres d'entrepôt, il m'a charmé, peut être même envouté. Il faut dire qu'avec la lumière du soleil couchant et le silence presque religieux de ses rues qui ne se trouvaient qu'à une ou deux rue du chao de grosses artères, je me suis crue transporter un instant dans un autre monde à découvrire...

J'y ai découvert des grands arbres, des immeubles abatus, des immeubles de briques rouge arborant de vieilles enseignes peintes au dessu de grande porte de Doc, des studios d'effets spéciaux et de nouvelles résidence qui n'étaient pas encore habitées... puis tout au bout de cela, aprés plusieurs minutes de marches le fleuve... ce fleuve qui me fait penser à la mer si je ne cherche pas l'horizon... Le temps semblait s'arréter avec la lumière qui baisser au fure et à esure que je m'enfoncé dans le quartier.

En sortant de la salle il faisait nuit. J'ai suivit le même chemin qu'à l'aller et j'ai cru découvrir encore un autre lieu. Les enseignes et les écritaux des studios, dans l'obscurité n'étaient plus visibles. Je marchais donc guidée par les lumières des lampadaires jusqu'au coin d'une rue ou se sont les guilandes dans un immense arbre qui m'ont guidé jusqu'à un restaurant... Comme dans les déccord de films romantiques. Il s'agissait de la coure d'un restaurant. L'ambiance à l'intérieur avant l'aire rustique, simple, chic et calfeutrée... Au fure et à mesure je découvrais ainsi bars et restaurants dont les entrées pour la plus part étaient cachées derrières des portes blindées... Peu d'indices m'auraient laissé croire qu'ils étaient la àa mon premier passage. Mon chemin à finalement rejoint une des grosses artère de la ville qui regroupe bon nombre de restaurants chics ou se busculaient de nombreux passants de toutes sortes... chics et moins chics... collègues de travail, amis, équipe de sports... Cela rendait ma petite expedition encore plus étrange et mon univers encore plus décalé...

Le samedi suivant je suis retournée me promener dans ce quartier, c'était une belle journée. J'ai poussée mon exploration un peu plus à l'Est... Et devinez ce que j'y ai découvert... Une écurie urbaine ! Cachée là ! Au coeur de la ville ! Les portes étaient fermées et la carrière vide mais malgrés ma déception de ne voir aucun compagnons je suis bien heureuse d'avoir découvert cet endroit... Peut être que a prochaine fois je serais plus chanceuse.

En voila des découverte dans ce quartier qui semble hors du temps et ne respecter que son propre rythme...

"On ne renonce jamais aux chevaux vous savez, ça fait dix mille ans que les humains tentent de dresser les chevaux. Chaque humain recommence avec chaque cheval, le même travail, la même aventure, difficile et périlleuse. Dix mille ans qu’on tombe, dix mille ans qu’on se relève, qu’on invente les voitures, qu’on invente les avions, et pourtant on continue à monter à cheval..." Danse avec lui, le maître écuyer à Alexandra.

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